Soumise baisée et enculée en pleine rue

Soumise baisée et enculée en pleine rue

Je m’appelle Valérie et je suis une salope soumise et docile, rien d’autre ne m’excite autant que d’être le jouet des hommes.

Les différents maîtres auquel j’ai appartenu ont fait sauté tous mes tabous, ils m’ont rendue insatiable sexuellement. Je suis ce qu’on pourrait appeler une vide-couilles ou un trou sur patte et cela me convient très bien.

Jours après jours les hommes profitent de moi grâce au annonces que mes maîtres postent pour moi afin de me trouver de nouveaux défis sexuels. J’aime me sentir comme une vulgaire putain et m’offrir au premier venu sans la moindre espèce de dignité. Là où je me sens le plus dans mon élément c’est quand je m’offre en pleine rue. J’ai l’audace de le faire dans le centre-ville, mais à des heures tardives je l’avoue.

Oui, je sais que cela est tout de même risqué, mais j’adore avoir des relations sexuelles en extérieur ou dans la rue, je ne peux plus m’en passer. Je suis comme une lionne qui part en chasse et mes proies sont des hommes rencontrés sur des sites de rencontres, certains sont des dominateurs, et d’autres simplement des vicieux ou des opportunistes recherchant des plans cul sans lendemain.

Mon fantasme ultime est de faire l’amour en plein jour et en public mais je n’en ai pas encore le courage. Pour le moment je dois me contenter d’exercer ma passion dans des ruelles sombres, la nuit, dans des lieux et à des heures où personne ne peut me voir. Lorsque je marche dans les rues sombres de la nuit, mon cœur bat la chamade. L’obscurité enveloppe mon corps comme un voile mystérieux, et le vent froid caresse ma peau comme un amant invisible.

Je sens l’excitation monter en moi à chaque pas que je fais en direction de mon rendez-vous, avec un homme presque inconnu. Les rues désertes sont mon terrain de jeu, et j’ai l’impression de marcher sur un fil, entre la raison et la folie. C’est comme si j’étais en train de vivre une aventure interdite, et cette sensation est plus forte que tout, elle m’emplit d’une énergie indescriptible.

Je sais lors de ces moments là que je vais bientôt faire l’amour avec cet homme, et je ne peux pas attendre pour sentir ses mains sur moi, pour sentir son corps contre le mien, pour laisser mon désir prendre le dessus. Je suis une femme libre, et je suis vivante. Cette merveilleuse sensation est tout aussi forte que le sexe, elle me fait planer comme si j’étais une droguée qui venait de prendre sa dose.

Un soir, je me promenais dans les rues désertes de la ville, profitant de l’heure tardive pour me dégourdir les jambes. Mon amant du jour, ou plutôt du soir, marchait à mes côtés, sa main chaude enlacée à la mienne. Nous avions décidé de nous adonner à notre sexualité sauvage, sans retenue. Il avait repéré une petite ruelle parfaite pour se laisser aller à ce genre de choses, il devait être trois heures du matin.

Nous arrivâmes devant un mur, lisse et gris. Mon amant me dit, c’est ici, puis il me plaqua contre lui et m’embrassa avec passion. Je gémis de plaisir, sentant mon désir monter en flèche. Je pris son sexe dans ma bouche mais une fellation n’allait pas suffire à calmer son désir, il était surexcité, quand à son sexe il vibrait littéralement de désir.

Il se retira de ma bouche et me souleva par les cuisses et je m’accrochai à lui, enroulant mes jambes autour de sa taille. Je poussai un cri lorsqu’il pénétra en moi, nos corps se mouvant en harmonie parfaite. Je m’agrippai à ses épaules, laissant mon plaisir m’envahir tandis que nous atteignions l’orgasme ensemble.

Haletants et en sueur, nous nous regardâmes, nos regards brillants de désir et de satisfaction. Nous avions vécu un moment intense, et je savais que nous en chercherions d’autres, encore et encore. Peu de temps après nous nous donnions rendez vous à nouveau mais il m’a annoncé juste avant son départ que j’aurai droit à une surprise cette nuit.

Je le rejoignait en marchant tranquillement vers une nouvelle rue, elle aussi propices à tout nos fantasmes, un endroit calme et discret. Cela me faisait du bien de prendre l’air et m’évader de la routine quotidienne. Je ne m’attendais certainement pas à ce que mon regard croise celui d’un parfait inconnu envoyé par mon amant de l’autre jour.

Mon amant l’avait trouvé sur Wannonce, un de ces sites où l’on trouve plein de femmes qui sont aussi salope que moi. Cet homme semblait lui aussi dominant, c’est ce qu’il me confirma rapidement. Mais ses yeux étaient plein de perversité, c’était plus le fait de salir des femmes que de les dominer qui devait l’intéresser.

Mais m’excitait car il était lui aussi si séduisant et viril. Son regard était intense et son corps musclé me donnait envie de l’explorer de plus près. Je ne pus résister à l’appel de mes instincts et me laissai entraîner par lui dans un coin de la ruelle sombre et déserte. Nous nous regardions intensément, conscients de ce qui allait arriver. Je savais que cela était interdit et risqué, mais cela n’ajoutait qu’à mon excitation.

Sans un mot, comme l’autre maître il me plaqua contre le mur, ses mains parcourant mon corps avec avidité. Je laissai échapper un gémissement de plaisir alors qu’il me soulevait et me plaçait à califourchon sur lui. Je me mis à onduler sensuellement, mes mains agrippant ses épaules alors qu’il me pénétrait avec force, pour ne pas dire presque de force.

Nous avons fait l’amour sauvagement, sans retenue ni pudeur, juste guidés par notre désir l’un pour l’autre. Cette expérience était intense et inoubliable, une véritable libération de toutes les inhibitions. Je ne pouvais m’empêcher de penser que cette nuit serait gravée dans ma mémoire. Je me suis donc laissée emporter par l’excitation de la situation.

Nous étions seuls dans la rue, à une heure où personne ne s’y trouvait. Nous pouvions donc nous mettre plus à l’aise. J’ai rapidement enlevé mon haut et mon soutien-gorge, exposant mes seins à sa vue. Il a glissé sa main sous ma jupe et a commencé à caresser mon sexe déjà humide et remplie du sperme de la pénétration précédente.

Je me suis agenouillée devant lui et j’ai commencé à lui donner une fellation rapide, tandis qu’il se tenait debout contre le mur. Sa queue était dure et pulsait entre mes lèvres. Il m’a soulevée par les cuisses et m’a plaquée contre le mur, me pénétrant profondément. Je me suis mise à onduler des hanches à nouveau pour mieux l’accueillir en moi. Puis il a décidé de m’enculer sans autre forme de procès et j’en était ravie.

Nous avons atteint l’orgasme en un rien de temps, grâce à la force de notre désir mutuel et à la situation qui nous entourait. C’était excitant de savoir que nous étions en train de faire quelque chose de interdit, mais en même temps, cela ajoutait une certaine tension à la situation. Nous nous sommes rhabillés rapidement et sommes repartis chacun de notre côté, rassasiés tous les deux.

By continuing to use the site, you agree to the use of cookies. more information

The cookie settings on this website are set to "allow cookies" to give you the best browsing experience possible. If you continue to use this website without changing your cookie settings or you click "Accept" below then you are consenting to this.

Close